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L'être humain versus la fiction de la personne juridique

Je publie ici le texte envoyé par un de mes correspondants qui souhaite garder l'anonymat et qui m'a autorisée à le publier sur mon blog.

Merci à LUI de tout COEUR.

 

L' ÊTRE HUMAIN VERSUS LA FICTION DE ''LA PERSONNE''
ou, l'être humain versus la personne juridique, ou homme de paille

 

Préambule :

Notre univers local appelé la planète Terre fonctionne selon ses lois. Ainsi ses locataires, tous les règnes qui la composent, s'adaptent, profitent, baignent dans ses lois. Citons-en simplement quelques unes : l'espace, le temps, la gravitation, la force électromagnétique faible, la force électromagnétique forte, mais aussi les marqueurs énergétiques que représentent les solstices et équinoxes. L'altérité en toute chose, sinon la dualité, tel que le jour n’allant pas sans la nuit, le ''positif '' sans le '' négatif '', l'ombre sans la lumière, l'homme sans la femme, le froid sans le chaud, le ''bien'' sans le ''mal'', la matière et l'énergie, le début de chaque chose et son entropie, la vie et la mort, etc.

Comprenons par là que l'un ne va pas sans l'autre. Ce qui veux dire que celui qui cherche la ''vérité'' devra se confronter au mensonge un jour ou l'autre, car celui-ci fait parti de la même pièce, il en est juste une des deux faces. Une vérité aujourd'hui peut être un mensonge demain. Cette vérité est donc soumise à la loi du temps qui passe, des consciences qui évoluent, De plus, cette vérité ne sera pas la même d'un pays à un autre, la loi de l'espace séparant ces pays prends là son sens.

De fait, je préfère dire que je cherche la réalité. Celle-ci est factuelle, elle est certes partielle, mais nous montre ce qu'il en est, selon certains niveaux de compréhensions, de ce qui nous entoure, allant du monde dit visible de la matière au monde de l'invisible des énergies qui sous tendent, prédominent, à cette matière.

Ce que je développe dans cet écrit représente une autre façon de voir QUI NOUS SOMMES au regard de la loi des hommes dans ce monde où tout est inversé. Par exemple, pensez vous que vous êtes une personne ? La réponse est non, vous avez une personne, par contre, vous êtes quelqu'un et non personne. Nous développerons cela plus loin et les intrications que cela implique dans la vie de tous les jours. Je veux dire par là que ce n'est pas un essai sur de la philosophie, sur des croyances, des suppositions, des idées, c'est du factuel qui implique toute notre vie. C'est une organisation qui pousse l' Être humain que nous sommes à ''commercer''.

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Ce terme est important pour la suite. S'il y a des lois divines, des lois régissant la Terre comme entrevu plus haut, il y a aussi la loi des hommes. Ces lois peuvent être orales, des us et coutumes que chacun s'approprient, elles peuvent être faite de jurisprudences, donnant l' ''exemple'' pour la suite, ou faites de textes, de codes.

Le tout étant simplifié et ponctué par un : Nul n'est censé ignorer la loi.

Cela veux dire que l’insouciance en la matière ne sera pas de mise, que ton coté '' pure esprit '' devra composer, commercer, avec les lois des hommes. Celui qui commercera avec la loi des hommes sera la personne juridique ou l'homme de paille que Tu as (et non pas que tu es...) l’Être humain que nous sommes, par droit inaliénable naturel étant né sur cette Terre, est souverain de toute éternité et ne peut être soumis aux lois de ses semblables, eux mêmes êtres souverains. Ils ne peuvent donc pas avoir juridiction sur toi. Souverain voulant dire qu'il n'y a pas d'autre autorité qui peut te contraindre, mais cela ne veux pas dire pour autant que tu as le droit de faire n'importe quoi. Voir art. 4 ci-dessous. >>>> c'est prévu dans la déclaration des droits de l' Homme et du citoyen de 1789, texte de référence pour tous les peuples ... (l'homme n'étant pas un citoyen, il le devient de manière particulière)

Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

>>>> Ainsi que l' art. 12 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1948

Art. 12. Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.

Un droit n'est pas une obligation, un devoir, oui, sous certaines conditions. En matière de droit, nous pouvons interpréter cet article 12 comme : chaq-UN (Etre humain) peut endosser sa personnalité juridique, sa fiction juridique, quand il le veux. Mais n'en est pas obligé.

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Peut être commences tu à comprendre qu'il y a comme une schizophrénie organisée en toi par le système, la société, l'organisation commerciale que l'on nomme ÉTAT.

« ah bon, l'état est une entreprise ? »

Oui, depuis 1947, enregistré avec un numéro de SIRET

« pffff, n'importe quoi !! »

relevons ici qu'une nouvelle déclaration des droits de l'homme est venue juste derrière cela, soit : en 1948.
Pour t'expliquer un peu plus, il n'y a que des entreprises, des corporations qui peuvent commercer entre elles. Un Être humain ne le peux pas. C'est donc pour cela qu'il a été créé la fiction juridique de l'homme de paille.

« mais enfin pourquoi ? Je suis un être humain j'ai des droits ! »

Oui, mais pas ceux qu'ils te disent avoir. Tu as des droits in-a-lié-nables na-tu-rels. Cela veux dire que les ressources de la planète sur laquelle tu as vu le jour doivent te nourrir gra-tui-te-ment. Mais voilà, tu n'es pas né sur Terre mais sur la mer, Ta ta tan !

« vraiment, tu dis n'importe quoi ! »

Ne t’inquiète pas, je vais développer. Revenons aux lois des hommes.
Par extension, un créateur ne peux être soumis à sa création. C'est une créature qui se soumet à son créateur. De fait, les lois que nous créons doivent être là pour nous aider, nous faciliter la vie, nous protéger, et non nous contraindre. Cependant, cela est détourné par le simple fait que
ta personne juridique est un ... objet, une marchandise assujettie aux lois de la mer. Les common law, et il est donc très facile de contraindre une marchandise, sans âme. Là, tu penses que j'y vais fort ! que mon raisonnement est teinté d' idéologie, que je suis complotiste, et tu penses très fort >>>

« ce n'est pas possible, je ne suis pas une marchandise, mais une personne ! »

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Et oui, tu es personne, c'est même sans ambiguïté dans le texte !

Tu es, nous sommes, je suis, une marchandise représentant un montant monétaire. Mais, au dessus de cela existe toujours l’Être humain, mais il a disparu en mer à l'âge de sept ans.

« Heu, là tu y vas fort quand même !»

>>>> c'est écrit dans la loi maritime gérant les marchandises... J'y reviendrais en son temps.
Ton consentement t' est toujours demandé, c'est une obligation proposée à l' Être humain à endosser son homme de paille, sa fiction juridique, qu'il a toujours possibilité de refuser. C'est prévu par la loi.

Le principe du consentement serait appliqué dans tout l'Univers visible et invisible, ce que je ne développerais pas là. Qui ne dit mot consent, mais aussi le silence vaut pour acceptation, également tu acceptes un contrat en le signant, tu acquisses par un hochement de tête, par tacite reconduction, etc, etc.

Qui peux penser que l' Être humain que nous sommes soit assujetti à une entité morale ? qu' il a une personne morale, et non pas qu'il est une personne morale, un homme de paille, une fiction juridique, comme une société, et que cette corporation que nous représentons est indépendante de l' Etre humain que nous sommes, qui lui, a des droits naturels, comme dit dans l'article 2 des droits de l'Homme. Dans cet article, nous avons d'abord des droits et ensuite éventuellement des devoirs. C'est curieux, tu ne trouves

pas, que ça soit écrit ainsi ? Les droits avant les devoirs. A cet instant, nous pourrions penser que l'Homme, de par sa naissance naturelle, a des droits naturels mais que le Citoyen à des droits également mais aussi des devoirs. Le tout étant de savoir si les droits de l'un, et de l'autre, sont les mêmes.

Dans cet article 2, les droits naturels et imprescriptibles de l'Homme sont : la liberté, la propriété, la sûreté (de son être), et la résistance à l'oppression.

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Nous pourrions longuement argumenter sur ces 4 droits naturels, mais simplement deux seront nécessaires pour ce qui suit. Soit : la sûreté de l' être humain que nous sommes et la résistance à l' oppression.

L’ Être humain a le droit inaliénable d'être en sûreté. Avec tout ce que cela comporte d'entendement. Il a également le droit de dénoncer les abus sur son êtreté et qu'il peut résister à l'oppression qu'il subit éventuellement. Je rappelle que la loi doit protéger et non contraindre. C'est bien le cas dans la rédaction des articles de la déclaration des droits de l'homme sus-cités.

Nous voici donc avec une dichotomie de plus, une dualité séparant l' Être humain plus qu'il ne l'est déjà. Combien d'entre nous savent cela ? Nous l’apprends-on à l'école ? plus tard ? Non, jamais ! Cela représente, en ce qui me concerne, le premier des plus grands des secrets, à savoir le certificat de baptême devenu ensuite l'acte de naissance, et ce qui se cache derrière. Celui-ci est-il juste un papier prouvant simplement votre existence d' Être humain comme nous pouvons le penser ?, non, au contraire, il prouve que nous sommes personne ! La langue Française est la langue diplomatique (double) par excellence, et tout est dit dans les mots si l'on prends du recul pour savoir vraiment ce qu'ils disent et nous devons relier cela dans un contexte précis, comme ici celui qui nous intéresse.

Donc, l'acte de naissance prouve que vous êtes une personne sans âme, comme une SOCIÉTÉ ANONYME S.A. (Sans Âme) car l' Être humain que vous êtes à une âme lui. Là est la supercherie que nous allons tenter de démêler.

Petit conte terrestre :

Il était une fois la marchandise et Adam-l'animal, le vulgum pécus.

Sur la planète Terre, la loi des Hommes régit les ÉTATS, ces lois sont toutes différentes et s'appliquent différemment selon d’où l'on provient. Chaque pays a ses lois. Il y a la loi de l'air, celle de la mer, celle de la terre. En découle des codes, des circulaires, des directives, des recommandations à n'en plus finir. Par contre les objets, les marchandises qui naviguent sur les mers, sont régit par la loi maritime, la loi de la mer, qui est la même pour tous. C'est la loi du commerce, on le conçoit aisément.

Par le passé, il n'y avait pas encore d'avion, lorsqu'une marchandise était chargée sur un vaisseau, elle empruntait les mers, puis les fleuves, on libérait les eaux dans le systèmes

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d'écluses, puis, arrivée au port, la marchandise était délivrée au dock. Plus récemment elle reçue un numéro de livraison, avec celui-ci, la marchandise était directement cotée en bourse dans le pays où elle se trouve. Cela lui confère un prix en liquidités (encore de l'eau !). Rien à redire à cela, si nous acceptons que les marchandises doivent avoir un prix.

Faisons maintenant le parallèle avec Adam = l'animal ... l'être humain.

Dans le ventre [le vaisseau] de la mère [la mer] la marchandise [l'humain], arrivé à bon port, la mère perd les eaux [les écluses] se retrouve au dock [l’hôpital] mais aussi dans les mains du doc-teur ! On délivre le bébé [la marchandise] c'est la délivrance après le travail, venant de trépalium (torture). Un numéro de naissance est attribué au bébé (un certificat de naissance). Puis numéro de sécurité sociale. Savez vous que ce numéro attribué aux ressortissants canadiens et étasuniens est basé sur le même modèle que les numéros des billets en dollar CA ou US, et que s'ils tapent leur numéro de naissance sur le site de stock of change de New York ou Montréal, cela correspond à leur nom et la valeur en liquidités qu'ils représentent ! Cela prouve bien que l'humain est de la marchandise, cultivée par le Dieu argent, de sa naissance à la mort, par l' [E]ducation et la [C]ulture, qui est grosso modo la même pour tous les pays, puisque c'est l'UN[E]S[C]O signifiant : United Nations Educationnal, Scientific and Cultural Organisation, qui est une organisation internationale spécialisée de l'Organisation des Nations unies (ONU) qui décide de ce qu'il en sera. La disparité entre continents et pays reste encore un frein à la mondialisation de la pensée unique, mais vraisemblablement pour peu de temps encore. Cf : le nouvel ordre mondial. (N.O.M.)

De fait, chaque être humain sur la planète est déclaré sous le droit de la mer et devient une marchandise avec une cotation boursière. Si vous êtes porté disparu plus de sept ans, vous pouvez être déclaré juridiquement et légalement mort par la Justice (lien à faire avec le droit maritime), c’est peut-être d’ailleurs la raison pour laquelle le Tribunal détient un double du Registre des naissances. C’est le même principe que pour les navires (vaisseaux) ou marins perdus en mer. Pour cela, il faut rester 7 ans sans nouvelles.

« Mais, lors de mes 7 premières années je ne pouvais être conscient de cela et donc réagir pour dire que je suis en vie ! »

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Et oui, là est le problème, et ce sur quoi nous pouvons jouer.

Un Australien ayant investigué sur le sujet :

« ...Mais en faite vous allez in-volontairement abandonner votre Patrimoine (a-ban- donner). Car vous allez commencer à travailler et vous enregistrer comme contribuable sous le formulaire (IRD330 en NZ) de sécurité sociale, ou en vous enregistrant sur les listes d’électeurs. Que ce soit n’importe lequel (carte d’identité, passeport, etc.), vous transférez ainsi votre Patrimoine à la personne juridique ETAT en le déclarant dans un arrangement entre parties (effet de complaisance ou surety = cautionnement.

Si vous décidez de ne pas vous déclarer comme personne juridique, vous êtes alors un
« vaisseau perdu en mer ». Après 7 ans, vous êtes « mort » sans testament de
« succession », donc une personne doit être choisit afin de gérer votre Patrimoine/Fiducie. L’administrateur / curateur publique (l’État) demande alors au Tribunal de la Famille que cette gestion lui soi remise sous l’Acte du Droit de la Propriété et de Protection de la Personne sci ! ‘Protection of Personal and Property Rights Act 1988, Section 11. Form PPPR 6 Application for order to administer property’. (Trouver l’équivalent français, car celui-ci est de N-Z).

Sous l’accord de la première Fiducie souveraine Publique faite par votre Mère, vous êtes le Bénéficiaire, et votre Mère et l’État en sont les Fiduciants (ou Trustee, administrateur, en fait l’État est le fiduciaire et il inverse les rôles en vous faisant payer et passer pour le fiduciaire; et en passant, il se déclare lui-même le bénéficiaire de part votre consentement tacite)... »

Cette belle histoire de la mère et l'enfant est une métaphore avec le droit de la mer de ce qui est la réalité en fin de compte et non pas une fiction, rendant par perversion ultime, cette fiction, LA réalité !
En naissant par le droit de la mer, nous devenons une marchandise qui a un prix. Nous allons voir pourquoi cela est important pour notre vie.

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Définition simplifiée de l' Être humain :

un être humain est un être vivant membre de l'espèce humaine. Il se différencie des autres espèces par son mode de déplacement bipède, son langage articulé, ses mains préhensiles et son intelligence développée.

Autre définition de L’ Être humain :

l’Être c'est l'Esprit, le créateur en lui, l' arch-ange = l'arch-étype en-jeu
l'Hu-main c'est l'Hu-mus, la créature = la Terre. C'est l'ange = l' en-je
humus = la Terre. Donc, par extension, l'humain est l'Esprit sur la terre. Se référer à La genèse de la bible : Adam et Eve, le serpent... mais aussi des autres mythes fondateurs bien avant elle, tels que les tablettes (écrits) Sumériennes, Akkadiennes, Mésopotamiennes, Égyptiennes, qui sont les fondements de la bible.

L' Être humain à été crée par un créateur, comme tout ce qui est. Ce créateur expérimente qui il est à travers ses créatures. L'être humain est intrinsèquement lié à la planète Terre puisque son corps physique à les caractéristiques de la Terre, et qu'une fois l' Être décédé, ce corps physique sera assimilé complètement par elle. Son Esprit-conscience retournera, quant à lui, enrichir la « bibliothèque » du créateur, qui en tirera ce qu'il voudra de ces expériences vécus par ses créatures. C'est une croyance que je partage avec un certain nombre de mes semblables. Ceci est très succinctement dit mais ça peut expliquer qu’il y a un monde d'en haut et un monde d'en bas. Des lois d'en haut des lois d'en bas, le créateur, la créature, etc. Celle-ci est toujours subordonnées à son créateur. Ou bien, comme dans ma croyance, qu'en chaque créature humaine, il y a une part de son créateur, à concevoir, à réveiller, à appréhender, ce qui rend l' Être humain, de fait, un être souverain sur cette planète. Souverain voulant dire qu'il n'y a pas d'autre autorité au dessus de lui que son créateur et lui-même, que les autres êtres humains sont ses pairs, au même niveau que lui. Par extension, comprenons que dans la déclaration des droits de l'Homme et du citoyen, ce n'est pas la déclaration de l'Homme-citoyen, c'est l' Homme ET du citoyen, il y a donc deux entités : une humaine aux droits inaliénables naturels et un autre, le citoyen, fiction juridique, personne juridique, ''homme de paille'', que nous évoquons.

L' Homme, être de chair, d'os et de sang est la créature d'en haut, ''tombé'' en bas, avec comme héritage à la naissance une entité dite personne juridique sensée le représenter dans ce monde marchand.

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Un Etre humain souverain à une parole et s'y tient. C'est lorsque celui-ci n'a pas de parole qu'il y a contrat papier avec force de loi. L' être vivant a donc perdu son honneur dans les contrats papiers à force de côtoyer les marchands (du temple). La parole donnée est la base de tout, sauf que tout étant inversé, les paroles s'envolent et les écrits restent, dans le monde de la personne juridique !

Il est donc intéressant également de partir de cette phrase : « tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas pour faire les miracles d'une seule chose ». De fait, il n'y a pas que deux juridictions ici bas, le haut et le bas, soit celle de l'air pour le haut et celle de la Terre pour le bas, il y fut instauré plus tard celle de la mer ... pour le commerce.

Ces trois juridictions privées sont au dessus de tout.

- La première juridiction est administrée par la couronne papale siégeant au Vatican, le code justinien (romain) est en vigueur
- la seconde, celle de la terre, est administrée par Washington DC (au commencement c'était la couronne d'Espagne qui représentait cette juridiction) la loi c'est les common law + le code justinien et

- la troisième juridiction, celle de la mer, est administrée par la couronne d'Angleterre, la City de Londres. Les lois privilégiées sont les common law = lois de la mer.

3 ÉTATS ayant leurs propres polices, leurs propres lois et drapeaux. Ces trois villes sont ''libres''.

« Mais les couronnes c'est du folklore aujourd'hui, pfffff... »

Ah oui, tu crois cela ? Détrompes toi.
Avant l'invention de l 'entité juridique / marchandise, un objet, une personne qui fait de toi un esclave, les humains appartenaient plus ou moins à l'église catholique par le truchement de leurs âmes, par le baptême qui avait lieu dans les premiers jours de la vie. Un acte de naissance était alors émis, et ceux ci s' entassaient au saint siège, puis au Vatican. Par extension d'âme, leur possesseur, c'est à dire les Etres humains ''appartenaient'' à l'église par ce premier contrat :
le certificat de baptême.

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Sur cet acte il était mentionné le pré-nom, seul appellation valable et suffisante pour dénommer un Être humain, accompagné de son lieu de naissance et de l'heure. Il n'était pas rare que, le sus dit Paul, par exemple, soit appelé Paul de Tarse (la ville). Alors que cet Être était quelqu'un, et non ''personne'' (une personne) il était attaché à la terre ainsi qu' avec son essence divine à l'air, le tout acté par la religion dominante de l'époque et le certificat de baptême / acte de naissance.

Vint ensuite un temps où la caste des religieux, par extension la caste spirituelle dû laisser la place aux marchands (du temple !) il fut donc inventé la fiction de la PERSONNE juridique écrite en LETTRES MAJUSCULES ou capitales d'imprimerie, ce qui a une importance capitale justement ! La racine de ce mot est - cap - chapeauté, la tête (pensante) et écrit ainsi, votre nom désigne votre PERSONNE JURIDIQUE et non l' Etre humain que vous êtes de toute éternité.

Pour que l'homme de paille prévale à l’Être humain, il faut faire disparaître celui-ci. Voyons comme s'en sont-ils pris.

« .... Euh.... »

Le droit de la terre ou naturel régissant les êtres humains fut délaissé et il fut décidé de leur appliquer le droit de la mer régissant les marchandises et aucunement les êtres vivants... mais il en fut ainsi. Notez au passage que l' Être humain à une date d'anniversaire (le jour ou vous êtes né sur terre) et que la (votre) fiction juridique a une date de naissance (le jour ou elle a été déclarée et enregistrée par l'état civil.) Ce n'est pas la même date sur l'acte de naissance, ce n'est donc pas ''vous''. Ceci est vérifiable sur votre acte intégral de naissance. Nous sommes bien des ressources humaines ayant une énergie à employer, une personnalité juridique cédés à nos parents. Ceux-ci ont contactés par l'intermédiaire de l'acte de naissance ce qu'ils croyaient être une déclaration publique de la naissance d'un Être humain (leur enfant, la chair de leurs chairs) sauf qu'il s'agit de la naissance de votre personnalité juridique enregistrée par l’État civil sous la juridiction de l' ÉTAT / NATION FRANCE corporation, devenant bien la propriété de cette entreprise avec laquelle elle spécule sur votre rentabilité future pour le plus grand bien des marchands du temple : les banquiers privés internationaux.

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« il y a trois sortes d'hommes, les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer. » Platon

Par ce jeu de passe passe, il fut décrété que l'être ne revendiquant pas le droit naturel de l’être vivant souverain au bout de 7 ans, celui-ci sera donc considéré comme : disparu en mer. Nous arrivons donc à la personne fictive effaçant l' Etre humain qui doit être soumis aux lois des marchandises, au marché, c'est à dire à ceux qui ont inventé le système financier : les banques privées et les marchands les plus importants de l'époque.

De plus, votre nom donné (Titre), est enregistré dans la colonne des enfants « mort-né » [un enfant mort-né est ... incapable de vivre ... L’ ÉTAT peut maintenant juridiquement réclamer votre Patrimoine, vous faisant un « pupille de la nation » sous forme de domaine en viager, une situation de fiducie étrangère (Foreign Situs Trust).

L’État réclame donc ton patrimoine, via la dette publique. L’entreprise FRANCE, forte de ses 60 millions d'esclaves valant - tant - peut emprunter aux banquiers mondiaux -tant-

« mais non, tu déconnes encore là ... »

Le fait, d’être né sur la Terre, n’importe où, nous en fait l’héritier de plein droit ! La vie nous est donnée et la terre possède tout pour notre vie, tout ce dont l'être humain à besoin est gratuit et est présent sur cette planète. Il faut juste s'organiser pour trouver et aller chercher ces substances premières. Il a donc fallu détourner ce droit divin pour faire du commerce sous forme monétaire.

Lorsque deux personnes se parlent, échangent, ont dit qu' elles commercent, c'est normal, elle passent des contrats oraux , elles s'organisent, cela a toujours été comme cela entre êtres humains : la parole donnée... Rien de mal à ''commercer'' donc.

Lorsque l'on s'adresse à votre homme de paille à - LA PERSONNE JURIDIQUE – celle-ci est écrite : DURANT JOSEPH, à l'instar d'une entreprise, comme un logo, en capitales d'imprimerie. Vous êtes donc une entreprise qui est gérée comme telle. Par laxisme du temps qui passe, les institutions comment à s'adresser à vous en tant que JOSEPH

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DURANT, c'est déjà un relâchement du système qui ne sait plus qui il est vraiment : un esclavagiste patenté.
Ce qui est écrit en lettres capitales n'est pas du Français, ça ne s'applique donc pas en France, ça pourrait être du latin, car celui ci était écrit en lettres capitales, mais ça n'en est pas non plus. En droit, c'est donc nul et non avenu, nous n'avons pas a reconnaître ceci. C'est une fraude administrative qui ne s'applique qu'aux sociétés, aux corporations type administrations, police, état... et non aux Êtres humains,
sauf si vous y consentez. Nous sommes donc également complices de la dette public de L' ÉTAT FRANCE CORPORATION, puisque celui-ci se sert de nos personnes juridiques pour emprunter. Par le biais des assurances vies et autres marqueurs de mortalité, l' ÉTAT sait exactement combien vaut une personne en FRANCE, donc combien il représente en cash. Et donc combien l' ÉTAT peut emprunter.

Dans le droit naturel de la terre vous vous appelez : Joseph Durant, au temps des baptêmes religieux lors de la naissance de l'enfant.
Donc, à l’Être humain pré-nommé Joseph fut accolé un sur-nom par ouï dire : Durant, car s'il est incontestable que l'enfant est bien de la mère, ce n'est que par – ouï dire – qu'il est du père déclaré, (sauf, maintenant, il y a la possibilité d'effectuer un test d'ADN).

Lorsque dans la royauté, disons Anglaise, on nomme un de leurs représentants dans la presse par son prénom, par exemple le prince Philippe, la princesse Diana, Stéphanie de ... Monaco, etc. ne croyez pas que c'est du folklore pour attendrir les sujets. C'est uniquement qu'eux se conçoivent comme des Êtres souverains de la terre avec leur prénom et surtout pas un nom en majuscule derrière qui équivaudrait à les rabaisser au rang d'esclaves produisant pour le système maritime marchand. A l’extrême rigueur c'est le prince Philippe de Birmingham (la ville).

Prenons l'exemple du Christ :
Jésus ou Yeshoua, dit Ben Joseph, par son père, ou Jésus de ....Nazareth.
Dans la langue des oiseaux jésus c'est :

je-sus >>> j'ai su, mais je ne sais plus à cause du voile de l'oubli de la naissance, je ne me rappelle pas que je suis Christ, (qui est un état d'êtreté, ceci dit en passant).
C'est parce que nous sommes devenus des ignorants de qui nous sommes, qu'il est venu

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nous rappeler qui nous sommes : à savoir lui, c'est à dire des Christ en puissance, parce qu'il porte notre humanité, il est nous, nous sommes lui, nous sommes Christ (en potentialité !)
Mais le prénom Jésus ça peut être aussi :
je-suis, il ne peut y avoir un meilleur prénom que celui ci pour un Être humain : Jesuis, c'est sans ambiguïté possible, - j'existe – je ne suis pas une fiction juridique, mais je suis un Être humain.

Les marchands du temple ont tué Jésus, le Christ en lui a ressuscité, l' Être humain n'est plus ''disparu en mer''. Ne dit-on pas qu'il marchait sur les eaux !? Par extension, qu'il était au dessus des lois maritimes du commerce ?

Il est dit dans les textes sacrés qu'à la fin des temps il y aura des révélations, les morts reviendront à la vie. Par analogie, qu'à la fin des temps (du commerce des marchands du temple), les personnalités juridiques disparaîtront pour laisser la place à l' Être humain de droit.

Trois faits prouvant que vous acceptez votre personne juridique :

1° le : M. Me ou Mlle avant votre nom 2° le nom en capitales d’imprimerie
3° le prénom en capitales d'imprimerie

= le titre
= le surnom par l'acte de naissance = le prénom chrétien par le baptême

Extrait de : la tromperie du code justinien :

« ...Le titre: Mr ou Mme ou Mlle est la juridiction Maritime des Mers, donc de la guerre, du commerce et de l’esclavage de la Couronne anglaise aux travers du bras armée des US à Washington...mais c’est bien la City de Londres qui gère la domination des Terres... ensuite je n’ai pas trouvé les détails mais je pense que le Barreau fait office d’administration de la Loi maritime sur les Terres (acte de piraterie) au travers donc du barreau anglais de la City de Londres, l’Esprit. (Pour reprendre les grandes lignes d’Anna von Reitz).

Le SURNOM est la juridiction des Terres donc de l’Etat, en vérité la Couronne espagnole, le Corps. (Washington DC maintenant)

Le prénom est la juridiction de l’Air donc du Vatican, l’Âme... »

rappelons qu'un seul prénom suffit à vous nommer et ainsi endosser la souveraineté de l' Être humain que vous êtes, vous désolidarisant ainsi de l'homme de paille.

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Vous êtes donc consentants de votre personnage juridique et, en son nom, puisque l’Être humain est déclaré disparu en mer vers l'âge de sept ans, vous acceptez les droits et devoirs assujettis au commerce, mais cela va plus loin puisqu'à ce titre, vous êtes la propriété de l' ÉTAT dans lequel vous êtes le ressortissant, qui, lui même, est une entreprise déclarée. La FRANCE est déclarée au registre des entreprises avec un numéro de SIRET : 1 000 017, code APE-NAF 8411Z,

comme vous avec votre numéro de S.S. depuis 1947 !

« vraiment, tu dis n'importe quoi !! »

Il en est de même pour tous les pays et êtres humains sur cette planète. Vos enfants et vous-même êtes donc pupilles de la nation, ils peuvent vous être retirés pour quelques raisons que ce soit, selon les lois en vigueur du moment, la moral du moment, etc. Ceci dit, vos enfants ne vous appartiennent pas plus à vous qu' à l’ ÉTAT, ils sont simplement ''quelqu-Un de plus'' et non pas une .... personne.

Nous allons voir et démontrer qu'il y a escroquerie organisée, que le secret est bien gardé, que nous pouvons revendiquer notre souveraineté et sortir du système de temps à autre, mais pas aisément, cela va sans dire. intellectuellement et juridiquement il y a faille que certains connaissent, ils protègent ce système privant les humains de leur droit inaliénable d'existence naturel : de respirer l'air de la terre, alors que certains pays vendent de l'air pur, Japon, Chine, à la pompe, avec un masque, à la minute, comme du carburant, de manger ce que la terre produit de toute éternité, alors qu'une poignées de semenciers internationaux s'approprient, sous couvert de les hybrider et de les transformer, les graines, devenant leur propriété, de boire l'eau de la terre, alors que des entreprise te vendent l'eau en bouteille, ou de l'eau par contrat, au robinet, de dormir sous un abri, d'avoir chaud l'hiver, etc. Le plus étrange c'est que tout le monde s'accorde à ce que ce fonctionnement soit normal ! Nous sommes donc prisonniers de notre plein gré et consentants.

« Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance mais le refus de savoir »

Simone De Beauvoir

L' ÉTAT a donc la main mise sur vous, lorsque vous étiez enfants, via vos parents qui vous ont déclarés par contrat de naissance, et avant eux leurs parents, ils doivent subvenir à vos besoins, vous éduquer, alors même que vous êtes, comme on vient de le voir, la

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propriété de ce même ÉTAT entreprise, un objet, une personne morale, mais ce n'est pas lui qui subvient à vos besoins, ils vous concède juste certains droits, ce sont vos parents qui payent pour vos besoins, puis ensuite vous, lorsque vous vous émancipez.
Chaque enfant Français, à sa naissance, serait endenté de 30 000 € en 2018, ce qui ne veux pas dire chaque Français. Comprenez que cela n'est possible que si notre homme de paille consent à ce jeu de monopoly, avec de l'argent fictif crée à partir de rien, puisqu' intrinsèquement les ressources de la terre appartiennent déjà à l’ Être humain. Dans la constitution du droit de l' Homme il est dit que chaque être humain est « libre et égaux en droit ... » Chaque enfant Français dit on ? Un Français est une fiction juridique, la FRANCE également. Puisque la FRANCE est une fiction territoriale, le Français est une fiction de droit également. C'est donc bien la personnalité juridique représentée par le bébé qui est endentée. L'article 3 de la constitution universelle des droits de l'Homme de 1948 nous dit que chaque-Un à le droit à la sûreté de sa personne. La sûreté de la personne étant une garantie financière pour les créanciers puisque la personnalité juridique, nous, pour vivre, est une débitrice éternelle, car dans le système actuel, tout à un coût. L’ÉTAT engage donc ses emprunts avec nos personnes juridiques qu' il a transformé en comptes titres avec nos coordonnées bancaires. La personne juridique a bien un numéro de securité (sureté) sociale qui lui est propre, comme un numéro cabis ou siret, siren, tout ce que vous voulez, concernant les entreprises. L' ÉTAT peut donc emprunter en mettant nos hommes de paille en garantie, car nos personnes sont supposées alimenter en énergie / argent tout au long de leur vie ce même ÉTAT comme sus dit. Ce n'est pas vraiment pour vous que vous travaillez, c'est pour le système financier qui en dégage le plus gros des profits. Évidement, derrière cette appellation de système financier, il y a des hommes, très peu en fait, qui captent l' énergie et spolient 99 % de tous les Êtres humains sur la planète ainsi que les ressources de la planète elle même.

Comprenons que si un pays a une natalité faible, il devra, s'il veut continuer de s' endetter, accueillir chez lui des migrants, qui devront avoir les mêmes droits que les ressortissants du pays pour être assujettis aux mêmes lois ... du commerce ! Voir en Europe le pacte dit de Marrakech de 2018 / 2019 sur l'organisation de l'immigration prévue en masse,. Certains font donc une captation de l'énergie fournie par l'être humain (esclave se croyant libre) travaillant, transformant, extrayant, les ressources de la terre. Ils transmutent cela en paies, en revenus, ils en déduisent des coûts selon ce qui est produit, des actionnaires qui spéculent sur ces mêmes revenus se servent grassement au passage,

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ces marchandises sont vendues à d'autres êtres humains, ou pays, par simple jeu d'écritures sur les comptes bancaires, les gens ou pays s'endettent, se serrent la ceinture, stressent, et cela engendre tout ce que l'on connaît concernant la survie de chacun. Lorsque vous êtes endentés, vous avez peur de perdre le peu que vous avez, donc vous avez tendance à vous tenir tranquille. C'est donc bien votre énergie que le système financier utilise et transforme en argent. Mais en fait ce n'est pas vous, c'est votre personne juridique, car si c'était vous qu' ''ils'' utilisaient : l' Être humain, ''ils'' seraient accusés d'esclavage. De fait, ils ne peuvent pas vous forcer à endosser l'homme de paille si vous ne le souhaitez pas.

Le peuple est donc le Crédit de la Nation. Cependant, dans ce système corrompu, le crédit du peuple est effectivement le ''capital humain'', l'énergie que celui-ci déploie pour produire en travaillant. Les employés de l’ ÉTAT sont donc vos serviteurs publics, ils sont employés (esclaves par consentement) et sont payés par votre Fiducie par le système décrit plus haut (et pas par vos impôts !) ils sont là pour vous servir, ils devraient donc vous servir de par leur obligation (serment) et travailler pour votre bénéfice et défendre vos droits, car ils en ont le devoir et la responsabilité par le contrat Patrimoine / Fiducie, car celle-ci les a toujours payée ! (Ils sont agents de L’État). L’ ÉTAT a inversé tous les rôles !

Le peuple est employé par l’ ÉTAT comme débiteur du système bancaire privé qui est maintenu juridiquement (par la peur) par l’Association privée du Barreau (qui est une agence d’avocats et juges). Donc pendant toute notre vie, nous, comme Fiduciant de la Fiducie Étrangère représentée sous le NOM - patronyme, incorporés d'office, nous continuons de recevoir sans cesse des factures et impôts à payer, car nous, l’employé de l’ ÉTAT, la personne juridique, l’homme de paille, sommes obligés de payer.

Définition de fiducie : Contrat par lequel un bien est cédé comme garantie à un créancier, lequel devra le restituer au débiteur lorsque celui-ci aura rempli ses obligations.

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Lorsqu'une personne fait un dossier de surendettement, les dettes sont payées aux créanciers et non effacées. Elles le sont par l' ÉTAT NATION entreprise à qui appartient la personne, par le nantissement de la sûreté de sa personne prévu à l'article 3 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1948 validée par l' ONU.

La personne à faillie, mais son propriétaire (l' État) a été provisionné, depuis sa déclaration de naissance, d'une certaine somme d'argent sur laquelle l’État spécule en permanence, puisqu'il est prévu que cette même personne travaille et produise de la richesse. Ceci est rendu possible par le truchement du numéro de Sécurité Sociale (créée en 1945 un peu avant la création de l' entreprise FRANCE en 1947), devenant un numéro de compte bancaire affilié à la Banque de France reliant notre ''personne'' ainsi endettée, via la dette publique, au système financier mondial. En 1945 la France sortait de la guerre, elle était endettée, auprès de qui ? Les states ? Il fut donc trouvé le moyen de relier chaque Être humain à un numéro de compte caché bancaire représentant le nantissement de la dette. Donc, pas de panique, le remboursement des frais médicaux que nous percevons via la CPAM nous sont dus naturellement, de plus, ils sont financés par la dette publique, puisque que notre personne juridique sert à cela, ainsi que par les cotisations. !

Définition de nantissement : gage donné à un créancier à titre de garantie de ce qui est dû.

Nous sommes donc des nantis sans le savoir !

Il semblerait qu'en utilisant des vérificateurs de comptes IBAN on puisse suivre les transactions effectuées avec le numéro de compte de sécurité sociale de nos personnalités juridiques et ainsi comprendre comment et où se transfère, s'échange la dette publique. Elle se balade dans le monde, de banque en banque, via ces comptes rattachés à notre personne. Dans un pays où la natalité est en baisse, et c'est le cas de la plupart des pays dit civilisés de l' Europe, nous comprenons que pour maintenir et approvisionner le ''système'' des marchands du temple, il faille accueillir des migrants auxquels il est urgent de donner les même droits de citoyens ainsi qu'un numéro de S.S.

Nous avons abandonné notre souveraineté d'être humain par ignorance, lorsque nous étions nouveau-né, puis par négligence, puisque nul n'est sensé ignorer la loi, puis par consentements de type votes aux élections, ou vous demandez à quelqu'un d'autre de

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vous représenter, on voit actuellement ou cela mène. Ceci est juste un fait, ce n'est pas un jugement, car s'il y a des devoirs de citoyen (exorbitants si l'on regarde bien) , nous avons également des droits (bien minces en réalité). Ces droits que l'on nous vantent comme exorbitants, sont en fait cher payés.

Tout repose sur ce premier contrat dit de naissance. Par exemple les personnes du Commonwealth: CANADA, AUSTRALIE, ANGLETERRE, NOUVELLE ZÉLANDE, ÉTATS UNIS D' AMÉRIQUE, etc, soit 30 % de la population mondiale, ont pour lois premières la La Common law qui est un des principaux systèmes juridiques en vigueur dans le monde. Elle provient du droit anglais non écrit qui s'est développé depuis le XIIème siècle. C'est la"loi faite par le juge", c'est à dire que la première source du droit est la jurisprudence, par opposition au droit civiliste ou codifié.

Les actes de naissance de tous ces pays sont propriété de la couronne (d'Angleterre) et de Washington DC, le restant du monde appartiendrait au Vatican. Celui-ci détiendrait toutes les âmes, (les hommes de paille) depuis 1306. Nous, les Français, sommes donc sujets, soit de la couronne, soit du Vatican, soit de Washington DC ! Les sources à ce sujet ne sont pas vérifiables facilement . Il y a semble t' il beaucoup plus de renseignements sur le sujet que je développe en langue anglaise qu'en Français. Allez vérifier si vous en avez le temps, mais cela n'est pas le fond du problème.

Il devient subitement intéressant de savoir pourquoi la grande Bretagne en est au brexit ! Washington D.C. est actuellement dans les mains d'un fou furieux milliardaire, quant au Vatican, la bête dort d'un œil et compte sans doute les points.

Il y a cependant ceci : sur la tromperie du code justinien.

https://www.youtube.com/redirect?stzid=UgyBIz4z9ERhQvCLdXx4AaABAg&q=https%3A%2F %2Flatromperieducodejustinien.wordpress.com%2F2017%2F03%2F24%2Fle-vatican-detient- legalement-la-propriete-de-toutes-les-ames-depuis- 1306%2F&event=comments&redir_token=ZxcteuRZXYn9-fgIm- F1UGp_p_18MTU2ODA1NDE4OUAxNTY3OTY3Nzg5

vous pouvez copier coller le lien ci-dessus sur votre moteur de recherche.

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Extrait de : la tromperie du code justinien :

« ... Donc, sans le titre légal sur sa propre âme, on nous refuse un vrai statut juridique (on doit se faire représenter par un Avocat, on est donc déjà coupable car incapable, non- souverain et toujours sous tutelle, on est toujours la propriété de l’état par Acte de naissance), on est donc traité (la traite = esclavage) comme « chose » ou marchandise - un cargo sans âme - sur lequel le BARREAU a maintenant légalement le droit d’y imposer la Loi Maritime, donc la Loi du Commerce donc de l’Esclavage... »

Cependant, depuis la date du 21 décembre 2012 (21 / 12 / 2012), selon le calendrier Maya donnant cette date comme la fin d'un certain modèle de civilisation, la fin d'un certain monde, et non la fin du monde... nous pouvons voir que tout s’accélère, que ce qui est caché est mis en lumière dans les médias, ou sur internet, les exactions sortent au grand jour par le fait que les consciences des populations grandissent, maladroitement parfois, et que malgré tout, cela est possible grâce à l'outil internet. Il y a toujours eu des exactions à travers le monde mais cela ne se savait pas trop, l’outil viral internet n'existait pas.

Depuis cette date de 2012, les consciences se divisent de plus en plus : celles qui vont vouloir continuer dans l'ancien monde, et celles qui voudront faire l'expérience de se lancer dans un nouveau monde, un nouveau paradigme. De fait, il a été dévoilé à qui veux l'entendre l'escroquerie de ''l'entité juridique'' (sans âme) par l'acte de naissance, dont nous parlons ici, versus le droit naturel de l' être vivant en chair et en os et souverain. Il me semble que la première à avoir creusé ce Dol (Cf définition plus bas) est la canadienne Ghislaine Lanctôt, alias Ghis sur le net, en ayant fait les frais de quelques mois de prison dans les années 1990, mais reconnue être souverain et maintenant libérée de la main mise de la Couronne. Elle fut une précurseur et continue a éveiller les consciences à sa manière sur le net, ses conférences, ses livres, etc. elle travaillait en qualité de médecin au Canada, avait plusieurs cliniques, était contente de payer beaucoup d’impôts jusqu' au jour ou elle compris ou partait réellement les impôts des Canadiens, à savoir dans dans des banques privées, elle a alors finit par refuser de produire des déclarations de l’impôt sur le revenu, elle s'est ensuite mis à dos l'ordre des médecins Canadien car elle a écrit un livre s'intitulant : la mafia médicale. Depuis, pas mal d'êtres humains fouillent et essayent de sortir de ce système corrompu, non sans mal.

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Définition du dol : en droit des finances, de dolosif, désigne une manœuvre frauduleuse visant à tromper une personne dans le but d'obtenir son consentement, de sorte à ce que sans cette manœuvre, celle-ci n'aurait pas contracté, (accepté le contrat).

Toute notre vie est réglementée par des contrats : financiers, d' assurances, d' impôts, de permis divers et variés, contrats de gaz, d'eau, d’électricité, de ressources premières donc, etc, Tous ces contrats sont vus et entendus comme des droits et des devoirs que chaque citoyen doit honoré auprès de son créditeur auquel sa personne morale appartient par consentement, c'est à dire l’ ÉTAT FRANÇAIS en l’occurrence, ou ses représentants sous-traitants, adjudicataires, des ENTREPRISES, et tout ceci est conditionné par l'acte de naissance et le nom commercial maritime écrit en majuscules, le nom de la personne morale à laquelle vous êtes attaché, mais qui n'est pas ''vous'', ce n'est qu'une fiction juridique qui vous a été imposé, que vous décidez de représenter, comme si vous représentiez l'entreprise que vous auriez créée. Selon les statuts de cette entreprise, vous êtes légalement responsable ou pas de vos engagements.

Sauf que là, lors de votre naissance, vous n'étiez pas en mesure d'accepter ce contrat d'entreprise en connaissance de cause, que ceci vous a été caché toute votre vie. Mais nul n'est censé ignorer la loi , n'est ce pas (rire) Ce premier contrat – contracté - à votre place, sans votre consentement, est un dol simple à prouver. Tout dol doit être prouvé et démontré par voie de justice, il vous reviendra donc, si vous le souhaitez, de dénoncer ce contrat de naissance, où votre humanité est ''disparue en mer'' puisque qu'au bout de 7 ans vous ne vous êtes pas manifesté, et pour cause, vous n'étiez pas en mesure de le faire !

Ne subsiste que votre homme de paille. Vos droits fondamentaux d'être humain souverain habitant de la terre, celle-ci devant satisfaire vos besoins par droits inaliénables sont passés sous silence, et vous sont dorénavant monnayés comme explicité auparavant.

L'acte de naissance étant bien un dol, il en découle la nullité de ce premier contrat et par effet domino de tous les contrats qui ont été passés sous cette identité juridique imposée sans votre consentement réel. Cette escroquerie à été en partie permise par le code dit Justinien romain : corpus juris civilis, établi vers 530 après J.-C. Il a été édifié pour contrôler, réguler, mettre ne place le système bancaire mondial.

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''On'' nous a donc volé notre identité qui a eu pour conséquence la privation de l'identité humaine en tant qu'être humain libre réduit à un objet marchand qui équivaut à un crime contre l'humanité entière, puisque les ÉTATS, via les ÉTATS du commonwealth, la Couronne d' ANGLETERRE , et du VATICAN, ''esclavagent '' toute l'humanité s'étant appropriés le nom légal (par les certificats de baptêmes puis par les actes de naissances) de l'être de chair et de sang, pour créer un nom / compte, bon du trésor.

Si les avocats ignorent ou ne connaissent pas vraiment les tenants et aboutissants du droit maritime, ainsi que le droit de la terre, les juges, eux le connaissent pertinemment. Vous ne pourrez guère compter sur un avocat pour faire valoir votre droit auprès d'un tribunal, sauf s'il veut avoir de sérieux problèmes avec sa hiérarchie ! D'autre part, vous faire représenter par un avocat voudrait dire abdiquer votre souveraineté à un autre que vous, et jouerait en la faveur du système qui vous retoquerait que vous profitez du système que vous dénoncez. Comprenez également que le langage hermétique de la cour est là pour que le vulgum pécus ne comprenne pas ce qu' « ils » disent, et soit en posture d'infériorité par rapport à son maître : l' entreprise ÉTAT.

Lorsque vous êtes à ''la barre'' au tribunal, au barreau, vous êtes dans la posture de celui qui est dans le bateau, sur la mer, derrière le bastingage, le juge est sur le bench (le banc, la banque) vous êtes un revenant du monde des morts, à ce moment précis, vous avez le choix de vous présenter en tant qu' Être humain au juge et jurés, ou bien en tant qu' homme de paille endossant ce qui appartient, en fait, à l' ÉTAT, puisque votre personne appartient en tant qu'objet à cette entité juridique. Tout sera dit dans la première phrase si vous acceptez de vous nommer DURANT JOSEPH lorsque l'officier de l'état civil déclinera votre identité de citoyen. Si vous dites : « oui, c'est moi », (ils n'attendent que ça et doivent vous demander votre consentement) vous acceptez l'identité que vous représentez : l'homme de paille, et vous êtes fait comme un rat dans le bateau !

Si vous dites : « non ce n'est pas moi, je me nomme Joseph » c'est est fini, le juge saura que vous savez, il vous restera alors à argumenter sur le dol. Ce sera donc à l' ÉTAT via la Banque de France, à qui votre homme de paille appartient de payer vos dettes, par exemple, si c' est ce qui amène votre personne au tribunal. Des dispositifs, sous formes de lettres, documents, sont prévus tout de même par la loi au cas où certains se ''réveilleraient''.

Par le fait de vous désolidariser de votre personne juridique, de prouver le dol du contrat

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de naissance, vous redevenez un Etre humain avec des droits inaliénables et souverain, c'est à dire que les jurés sensés vous juger ou même le juge n'a plus juridiction sur vous, ils sont vos pairs. Attention, si vous signez un quelconque document à votre entête juridique : NOM PRÉNOM pensant bien faire et être acquitté, c' est que vous reconnaissez être - à nouveau - l'homme de paille ! dites que ce document ne vous représente pas, ne vous est pas adressé. Évidemment il y aura répercutions derrière, même si vous êtes acquitté. Un mouton que l'on ne peut plus tondre qui s'échappe, ça fait désordre.

Extrait de la tromperie du code justinien :

« ...Le crime les plus classique commis par les membres du Barreau sont usurpation d’identité et piraterie. Cela se passe à chaque fois qu’un humain vivant et son patrimoine sont mal-représentée par le nom du COMPTE (SURNOM) présenté à la Cour. Cette procédure ou pratique prétend qu’un Être humain est la même chose qu’une Entité Corporative ou Personne Juridique — mais c'est un crime d’usurpation d’identité, cela entraîne des accusations contre la corporation/personne et demande à l’Être humain d’en répondre, le piège se refermant sur lui et l’entraînant dans le cercle infernal de la dette, de paiements et de taxes de cette franchise juridique — un crime connu sous le nom de Piraterie.... » puisque nous sommes sur la mer, je le rappelle !

Vous pouvez toujours vous penser libre, que l'argent est une énergie, qu'on en a besoin etc. C'est en effet une somme d' énergies, in fine de l'argent, que des malades mentaux utilisent et qui jouent avec les êtres humains en se servant de cette création fictive d'homme de paille sans laquelle ils seraient condamnés pour esclavage envers l'humanité entière.

Pour ce faire, ils ont toujours besoin de votre consentement.

Ce sera le cas pour la puce RFID qu'ils vous proposeront de vous implanter dans votre corps, ils voudront fusionner votre personnalité juridique et tout ce qu'elle gère, qui sera contenue dans la puce RFID, avec votre corps physique, rendant la limite entre l'être souverain vivant que vous êtes, et l'entité sans âme : homme de paille, que vous représentez, réduite à minima, jusqu' a ce qu'un jour il y aura un amalgame complet avec

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le transhumanisme et l' I.A. (intelligence artificielle) fusionné dans le corps. Nous pouvons prédire que ces transfusions d' I.A. mais aussi les pratiques auxquelles nous consentons journalièrement déshumanisent l'être humain souverain que nous sommes, et d'un autre coté, ils tentent d'humaniser les machines, les I.A. cf : le robot prénommé Sophia qui a été déclarée en grande pompe, interviewe et réception, citoyenne de la future ville de NEOM. Ils en ont le droit, puisque cette I.A. juste prénommée Sophia (comme un humain ! Sans surnom) n'est pas humaine, et est en fait une personne juridique qui produira de l'énergie donc de la monnaie en travaillant ... a suivre.

Ils ne pourront pas vous obliger a recevoir la puce RFID, mais feront tout pour la rendre indispensable. C'est déjà le cas avec la dématérialisation des informations, des documents, avec la rareté organisée du cash en privilégiant la CB, ou en le rendant suspect. Nous y consentons.

Si vous réclamez votre liberté et votre souveraineté d'être humain et que vous l’obtenez comme certains, et de plus en plus, vos devoirs de citoyen / homme juridique tombent, mais vos droits également.
Vous n'avez plus a produire de feuille d’impôts, à en payer, aucune administration ne pourra vous contraindre en quoi que ce soit, plus de contraventions, fini les crédits, c'est la banque de France qui paiera tout ceci ainsi que vos factures de gaz électricité, eau ... puisqu 'elle est la représentante de l' ÉTAT nation, mais vous devrez renoncer à la carte d'identité, au passeport, même si vous êtes né sur terre et que vous la partagez avec vos pairs, cependant, vous ne pourrez plus sortir de votre pays ... plus de permis de conduire, mais vous avez appris à conduire, donc vous savez conduire, et pourrez conduire. Le papier : permis de conduire, n'est qu'une pression exercée sur votre homme de paille au cas ou vous allez trop vite, par exemple. Plus de CPAM, de retraite, de minima sociaux, plus de compte bancaire, etc etc. le prix a payer est fort, mais certains le font, évidemment vous n'en entendrez pas parler au JT de 20h. Tout ce que l'on possède, que l'on a acheté sous couvert de notre personne juridique, appartient à cette personne juridique, tant qu'il y a respect du « contrat » tout va bien, mais en réalité cela appartient à l' ÉTAT.

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EXEMPLE DE PROCÉDURE : si vous avez le temps de jouer ...

Avant d'en arriver à cet extrême et ainsi abandonner tout ce à quoi se reporte l'entité juridique, il y a moyen de jouer avec la loi, les vices de formes, initier des procédures légales, et ce, non pas pour dénoncer tous vos contrats, ce qui vous déstabiliserait assez gravement, mais que certains. Choisissez un domaine pour faire un test, comme une facture EDF.

L’électricité est produite, comme toute énergie, par la terre, même si transformée par l'entreprise EDF et consorts affiliée ou pas à l' ÉTAT, le principe électro-magnétique est bien une des 4 lois de l'univers, avec la gravitation, la force nucléaire faible, et forte, donc gratuite. On ne vous coupera pas le réseau, ça leur est interdit par la loi, comme l'eau, le gaz, internet, et la téléphonie fixe. Même si ces deux derniers postes peuvent être reteints pas vos opérateurs.

La loi N° 2015-992 du 17 août 2015 art 201V dans les conditions fixées par la loi 90-449 du 31 mai 1990 visant à la mise en œuvre du droit au logement « .... toute personne éprouvant des difficultés au regard de son patrimoine, de l'insuffisance de ses ressources, etc. à droit à une aide de la collectivité pour disposer de la fourniture d'eau, d'énergie, de téléphone fixe, et d'un service à internet ... En cas de non paiement des ces ''services'', ceux-ci sont maintenus jusqu' a ce qu'il y ait été statué sur la demande d'aide... »

- Soit vous avez un cas de force majeur : plus d'argent, et vous vous désolidarisez de votre homme de paille, et vous tentez alors de faire payer cette facture par son propriétaire légal >>> l' ÉTAT via la Banque de France. Soit il vous sera proposé cette ''aide'' (adressée à l'homme de paille)

- Soit vous ne voulez pas payer cette facture, car elle ne vous est pas adressée à vous, l' être souverain. Les caractères en capitales de votre identité sur la facture le prouve, elle est adressé à la fiction juridique liée au commerce qui appartient à l' ÉTAT FRANCE CORPORATION.

Pour décharger cette dette, cette facture, EDF par exemple, vous devrez remplir une lettre de change qui est à rattacher à la mention sûreté prévue à l'article 2 des droits de l'homme de 1789. Cette lettre est une proposition de rachat de dette.

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Dans la facture en question , en bas il y a un bordereau qui ressemble à un chèque qui est détachable selon les pointillés, c'est un effet de commerce négociable. Vous devrez annoter cet effet de commerce / bordereau et le transformer en lettre de change.
1) préciser (écrire dessus) que
cet effet de commerce devient une lettre de change (cela équivaut à un chèque)

2) préciser que la partie tireur est : moi-même,
3) que la partie tirée est : la Banque de France.
4) entourer le nom et l'adresse du bénéficiaire, dans ce cas, EDF en précisant qu'il en est le bénéficiaire.
5) en bas de cette lettre de change, écrire : voir au dos pour endossement.
6) au dos, écrire : accepté par : mettre votre signature et votre numéro de S.S. inscrire, voir loi sur les lettres de change 232-1 et mentionner la date.
7) joindre une copie intégrale de votre
acte de naissance (à demander à la mairie ou vous avez vu le jour)
8) écrire sur un papier
sans entête :
madame, Monsieur,
vous trouverez ci-joint une lettre de change pour procéder à la décharge de la dette publique ci jointe adressée à ma personne juridique, comme le mentionne l'article 2 de la déclaration des droits de l' Homme et du citoyen. Si cela ne vous semble pas possible, je vous demande de bien vouloir me retourner cette lettre de change avec le cachet de la partie tirée. Il me restera à prendre toute disposition à ma convenance pour régler cette dette.

Comme c'est un contrat négociable, mais également un titre de paiement, vous leur donnez deux semaines pour statuer :
1)
ils acceptent cette lettre de change (ils se font payer auprès de la Banque de France) que vous aurez avisé également avec un courrier invoquant la sûreté de votre personne concernant cette facture...(voir exemple de lettre plus bas)
2)
ils refusent, et ils te renvoient ta lettre de change (ils n'en ont pas le droit avant de l'avoir au préalable présentée au paiement (L511-26 du code du commerce) ils sont donc obligés de présenter ton paiement (lettre de change) pour le paiement de la facture. Dans ce cas, tu invoques le code du commerce et l'article mentionné précédemment. Ça veut dire qu'ils refusent ton paiement ! - Un certain temps va se passer ...
Ça va prendre un certain temps de compréhension par tous les services...

une lettre de change doit être présentée à encaissement avant un an...

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s'ils gardent la lettre de change, font la sourde oreille, ne t' on pas retourné celle-ci sous 15 jours, cela veux dire qu'ils sont d'accord, c'est un droit tacite, ou, qu'ils s'en foutent, ne savent pas ce que cela veut dire et, du coup, ils gardent la lettre de change (ton paiement donc) et ils te réclament une nouvelle fois par courrier de payer la facture.

C'est là ou ça devient ''amusant'', car tu leur retournes leur nouvelle facture avec une lettre intitulée :
OBJET / avis de fraude :
Madame, Monsieur,

je vous avise que j'ai déjà réglé votre facture nani nana par lettre de change du tant ... et procédé à la décharge de celle-ci . Si vous n'êtiez pas d'accord, comme la loi le stipule, vous étiez libre de me retourner mon effet de commerce avec la mention ''refusé'' le cachet de la B. d F. faisant foi, afin que je puisse vous régler selon les modalités à votre convenance, sans cela, je considéré la dette déchargée, patati patata.

1) ils ne répondent pas, vous n'êtes pas sensé savoir qu'ils n'ont pas encaissé votre lettre de change. Lorsque vous faites un chèque, vous n'appelez pas le bénéficiaire pour savoir s'il l' a encaissé ! Soit, ils ont perdu la lettre de change, soit ils abandonnent,
2) de toutes façon, s'ils te la retourne avec mention ''refusé'' , tu peux leur dire qu'ils ne l'ont visiblement pas proposée a l'encaissement comme vu plus haut, qu'ils sont hors la loi du tant article tant ... - Un certain temps se passe -

3) si tu reçois une nouvelle relance de payer, tu envoies un nouvel avis de fraude plus musclé cette fois, car vous avez le droit avec vous.

OBJET / Avis de réclamation,
Second avis de fraude,
Madame, Monsieur,
malgré que j'ai procédé à la décharge de ma dette et que j'ai ceci cela (explicitez) vous continuez de vouloir percevoir une seconde fois au recouvrement de la facture .... vous ignorez donc le premier avis de fraude envoyé le ... Je vous enjoins de cesser de me harceler, sans cela je serai obligé d' enregistrer un privilège légal pour avoir bafoué le droit à la sûreté de ma personne prévu à l' art 2 de la constitution des droits de l'homme, auquel je prétends. Bla bla... - un certain temps c'est écoulé après ces échanges de courrier ....

le privilège légal est a réaliser par un notaire, il n'est pas gratuit, il faut ensuite l'envoyer

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au greffe du tribunal commercial d' où vous dépendez... mais avant d'en arriver là, EDF et consorts auront jeté l 'éponge. Ou vous aurez craqué et donc payé ! par peur, par lassitude, etc.

Ils n'ont pas le droit de ne pas accepter la lettre de change et donc d'en ignorer le fonctionnement : 1) soit ils acceptent et la présentent à la Banque de France comme stipulée 2) soit ils refusent et ils doivent te retourner cette lettre avec la mention : refusé par la partie tirée : la B.de F. son cachet, tampon administratif faisant foi. Ils ne peuvent ignorer la loi stipulée dans le code du commerce et financier au sujet des lettres de change. Ils ont un an pour exécuter cet effet de commerce.

- Autre chose de possible, si tu refuses ton identité juridique en les avisant comme il ce doit, par courriers AR adressé aux institutions ad hoc, voir sur youtube, pleins de gens commencent à se renseigner sur cela, à faire des modèles de courriers, etc, et que tu reçois des documents genre : impôts, factures d'eau, d’électricité, toutes ces factures sont devenues incompréhensibles pour le commun des mortels, tu devras tenter de les comprendre, mais ''ils'' n'ont pas le droit de faire travailler l Être humain souverain (travail venant de trépalium = torturer) que tu es devenu, sous peine d'esclavage prévu par la loi, seul l'esclavage de l' homme de paille est prévu par consentement de celui-ci ! Tu leur signifieras donc de te payer pour effectuer toutes les démarches utiles à la compréhension de leur charabia – abréviations – symboles - phrases en faux Français (lettres capitales) - phrases ayant plusieurs sens - emploi de ''novlangue'' - jargon administratif - etc, etc..... c'est - tant - de l'heure.

- Une autre possibilité, tu reçois un courrier que tu inspectes, sans l'ouvrir, grâce à une lampe à LED assez puissante pour en voir la teneur. Tu inscris en gros sur l'enveloppe : REFLEX : Restitution de l’information à l'expéditeur, anciennement NPAI ( n'habite pas à l'adresse indiqué) et tu retournes à l'envoyeur en ayant pris soin de masquer la fenêtre portant ton nom et adresse, ce qui va les obliger à éditer un autre courrier puisqu'il devront ouvrir celui-ci. Cela autant de fois qu'il le faut .... Tu n'as pas pris connaissance de cette lettre puisque tu ne l'as pas ouverte donc le chat peut jouer avec la souris.

C'est le même principe que pour, par exemple, t' aviser que tu seras fiché B. de F. Si tu n'ouvres pas le courrier, ils ne peuvent le faire. S'en suivra un huissier pour te remettre le courrier en main propre, mais tu auras gagné un temps certain et précieux, ils t'auront

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cependant relancé plusieurs fois par courriers, que tu n’ouvriras pas et retourneras par REFLEX. Cela s'appelle jouer avec la loi, la respecter et la faire respecter ! tu n'as pas à te sentir coupable, les avocats des pires crapules font cela tous les jours, les multinationales également, le système financier joue au monopoly sans vergogne, crée de la richesse à partir de rien, ce qui a engendré toutes les crises que l'on connaît. Seulement, tu y consent .... tacitement, ou par ignorance, ou parce que tu trouves cela normal si tu adhères au système, ou par manque de temps, puisque ''le système'' à pour but d'occuper ton temps, de te divertir et de te compliquer la vie au maximum pour éviter que tu penses par toi même. - Qui ne pense pas dé-pense -

Exemple de lettre à adresser à la Banque de France :

NOM PRÉNOM
Être humain de chair et de sang adresse ....

date :
courrier recommandé N° .....
pièce jointe : Acte intégral de naissance
Objet : Demande d'accès à la sûreté de ma personne.

B.de F. (adresse à PARIS)

Monsieur,
je suis l' Être souverain bien vivant et conscient qui possède et administre la personne juridique nommée NOM PRÉNOM, ayant le numéro d'inscription au répertoire des naissances N° SS..... ainsi que le numéro d'identification fiscale N° ......

Soyez avisé que je ne veux plus servir à racheter de dettes publiques ou privées envoyées ou créées au nom de ma personne juridique. Je suis détenteur de plein droit, administrateur et bénéficiaire de la fiducie susnommée créée avec l'acte de naissance de ma personne par la République Française, sans mon consentement.

De par le fait, j'utilise la sûreté de ma personne ainsi qu'à la reconnaissance, ou pas, de la personnalité juridique, conformément aux articles 3 et 6 de la déclaration universelle des

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droits de l' Homme et du citoyen de 1948 ainsi que l'article 2 de la déclaration des droits de l' Homme et du citoyen de 1789.

Je vous demande formellement l'accès à la sûreté de ma personne pour effectuer toute lettre de change, effet de commerce, qui serviront à payer toutes factures, dettes publiques ou privées, adressées ou créées au nom de ma personne juridique, autant de fois que je le voudrais, ceci conformément à l'article 6 de la déclaration des droits de l' Homme et du citoyen de 1948.

Selon la loi s'appliquant aux institutions et/ou aux administrations affiliées, sans réponse de votre part, je considérerais cette requête valide.

Ceci étant établi pour faire valoir ce que de droit par (Prénom...... ) Être humain souverain, qui administre l'entité légale et/ou personne juridique nommée : NOM PRÉNOM.

Je vous prie de bien vouloir agréer mes sincères salutations.

Autographe
(empreinte et signature en rouge)

1) tu n'as pas de réponse de la banque de France, celle ci ayant autre chose à faire... Cela veut dire implicitement qu' ils acceptent ta proposition.
2)
Ils te répondent que tu es tombé sur la tête, dans ce cas, ce n'est pas grave, tu fais comme dit précédemment dès la page 23 de cet écrit et tu joues avec la loi.

- Ce sujet rocambolesque, est passionnant, non dénué d' humour, de sarcasmes, de cynisme, pas vu pas pris ! Tout va bien dans le meilleur des mondes, tout va très bien Madame la marquise, même si la maison brûle, faisons comme si ! Ce système a été certainement viable tant que les corporations n'étaient pas trop gourmandes, aujourd'hui ce n'est plus le cas, la nouvelle donne est en jeu, va t' on encore consentir ?

Le vol de notre Patrimoine naturel est basé sur de fausses présomptions qui ne peuvent pas être prouvées ! Pour qu’un Acte de naissance soit délivré, un homme ou une femme doit être né sur la Terre. Là est la vraie preuve, nous ne sommes pas disparus en mer

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(mort) mais la personne juridique que vous représentez, le sera si vous le décidez, donc, vous avez toujours tous vos droits sur la Terre. Vous êtes « le détenteur de plein droit » du Titre de votre Patrimoine.

Quelques questions :

- A quoi sert de vouloir améliorer une démocratie qui n'en a que le nom, par un RI(C), alors même que le (C)itoyen est une entité juridique soumis a ce qui vient d'être dit ?
- Quel sera le prix à payer pour que nous puissions recevoir le Revenu minimum universel, nouvelle lubie de nos élites, sachant qu'il n'y aura pas de toute façon de travail, donc de revenus pour tout le monde ? A quoi devront nous consentir pour cela ? Ce revenu minimum universel n'étant, en fait, que juste rétribution à l' Être humain faisant travailler son homme de paille pour faire de la richesse.

- Il faut être assez rigoureux et aimer s'improviser procédurier, sinon abandonnez si cela ne vous amuse pas au sens littéral du terme. Sachez qu'il n'y a pas qu'eux qui peuvent s'amuser avec les lois et le temps qui passe a essayer de faire valoir le droit. Cependant cela demande beaucoup d' énergie. Si la loi est censée être la même pour tous, de multiples exemples nous prouvent que non. Selon la région dans laquelle vous vous trouvez, les personnes susceptibles de la faire respecter n'ont pas le même fonctionnement , les mêmes habitudes, la même rigueur ou les mêmes travers, l' Être humain étant inconstant, non fiable et versatile, vous n'aurez pas les mêmes résultats avec les mêmes procédures. Ce qui va marcher pour l'un ne marchera pas pour l'autre... il est fort possible que ce que l'on nomme la jurisprudence soit là pour lisser ces incohérences en fin de compte.

Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas : de la manipulation à tous les étages !

DÉCLARATION DES DROITS DE L'HOMME ET DU CITOYEN DE 1789

Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur

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rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs ; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.

En conséquence, l'Assemblée Nationale reconnaît et déclare, en présence et sous les auspices de l' Etre suprême, les droits suivants de l'Homme et du Citoyen.

Art. 1er. Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune.

Art. 2. Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.

Art. 3. Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.

Art. 4. La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi.

Art. 5. La Loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la Société. Tout ce qui n'est pas défendu par la Loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.

Art. 6. La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.

Art. 7. Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la Loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires, doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la Loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.

Art. 8. La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.

Art. 9. Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.

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Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi.

Art. 11. La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi.

Art. 12. La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.

Art. 13. Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.

Art. 14. Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.

Art. 15. La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration.

Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.

Art. 17. La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.

Vous pouvez également accéder à la constitution de 1948 aisément.

Définition et enjeu de la Jurisprudence de la Terre :

« La jurisprudence de la Terre est la philosophie juridique et de gouvernance selon laquelle l’univers et la Terre, en tant qu’essences de la vie, sont les sources primaires des droits. Sur cette base, elle envisage les entités naturelles (les êtres humains) comme sujets de droits. « L’univers est une communion de sujets et non une collection d’objets », souligne Thomas Berry, le philosophe qui a théorisé la jurisprudence de la Terre. L’ensemble des composantes du monde naturel forment ainsi la communauté indivisible de la vie : la Communauté de la Terre. L’être humain appartient à cette communauté au sein de laquelle chaque membre est appelé à, et doit pouvoir, jouer son rôle en faveur des processus sans cesse renouvelés de la vie et du système global, le système Terre.

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Rompant avec l’anthropocentrisme multiséculaire à l’origine des dérèglements environnementaux et selon lequel l’être humain est propriétaire et souverain du vivant, la Jurisprudence de la Terre appréhende l’Homme comme un élément d’une plus large communauté d’êtres. Le bien-être de chaque membre dépend du bien-être de la Terre en tant que tout. Ce faisant, les sociétés humaines ne seront viables et ne pourront prospérer que si elles se régulent en tant que composantes de la Communauté de la Terre, en accord avec les grands mécanismes de la Terre et de l’univers.

Profond changement de paradigme, cette philosophie vise à transformer notre rapport au monde en passant d’une vision aujourd’hui utilitariste, centrée sur l’Homme, à une approche coopératrice, centrée sur la Terre. Parce qu’elle est interdisciplinaire, la jurisprudence de la Terre a vocation à irriguer et faire évoluer différentes sphères de la société. A commencer par le droit, via la reconnaissance des droits de la nature et l’élaboration de Wild Laws et d’un droit de la Terre, mais également à travers l'éducation, l’économie ou encore les sciences humaines. La Jurisprudence de la Terre est depuis une dizaine d’années promue par le groupe de travail harmonie avec la nature de l’ONU. Elle se développe également dans un nombre grandissant de pays, notamment en Amérique Latine, aux Etats-Unis, en Afrique ou encore en Australie... »

Que votre Esprit garde l' Être souverain que vous êtes. Bruno

Octobre 2019

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